L'ancien Premier ministre, Jean Castex, a été choisi par Emmanuel Macron, le mois dernier, pour devenir le nouveau PDG de la RATP. Il a été auditionné par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable au Sénat comme le veut la Constitution. Nous apprenons qu'il a passé son audition avec succès, il n'est plus président de l'Afit, l'Agence de financements des infrastructures de transports en France. Le nouveau PDG de la RATP arrive en pleine grogne sociale. Une journée de grève interprofessionnelle a lieu ce jeudi 10 novembre. Plus tôt cette année, le conseil d'administration d'IDF Mobilités a approuvé les modalités de l'ouverture à la concurrence du réseau de bus de la capitale et de la petite couronne. Le processus inquiète surtout les syndicats de salariés. De son côté, la CGT, à l'origine de l'appel à la grève du 10 novembre, réclame une augmentation du Smic, une indexation de tous les salaires sur l'inflation, une revalorisation du point d'indice des fonctionnaires. La RATP prévoit un trafic fortement perturbé en ce qui concerne se lignes de bus, notamment. Seule recommandation de la régie qui présente ses excuses aux voyageurs pour les conditions de transports prévues : « Privilégier le télétravail ou différer les déplacements sur le réseau ce jour-là ».
L'ancien Premier ministre, Jean Castex, a été choisi par Emmanuel Macron, le mois dernier, pour devenir le nouveau PDG de la RATP. Il a été auditionné par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable au Sénat comme le veut la Constitution. Nous apprenons qu'il a passé son audition avec succès, il n'est plus président de l'Afit, l'Agence de financements des infrastructures de transports en France. Le nouveau PDG de la RATP arrive en pleine grogne sociale. Une journée de grève interprofessionnelle a lieu ce jeudi 10 novembre. Plus tôt cette année, le conseil d'administration d'IDF Mobilités a approuvé les modalités de l'ouverture à la concurrence du réseau de bus de la capitale et de la petite couronne. Le processus inquiète surtout les syndicats de salariés. De son côté, la CGT, à l'origine de l'appel à la grève du 10 novembre, réclame une augmentation du Smic, une indexation de tous les salaires sur l'inflation, une revalorisation du point d'indice des fonctionnaires. La RATP prévoit un trafic fortement perturbé en ce qui concerne se lignes de bus, notamment. Seule recommandation de la régie qui présente ses excuses aux voyageurs pour les conditions de transports prévues : « Privilégier le télétravail ou différer les déplacements sur le réseau ce jour-là ».