Le président brésilien Bolsonaro, qui a reconnu à demi-mot sa défaite face à Lula lors de sa première déclaration publique hier soir, a notamment déclaré par la voix de son chef de cabinet que les manifestations en son soutien devaient être « pacifiques ».
Il a condamné les barrages routiers des camionneurs bolsonaristes qui entravent la circulation dans tout le pays. 227 routes nationales étaient encore bloquées hier dans la quasi-totalité des États du Brésil, précise notre confrère Le Figaro. Dès dimanche soir, les routiers en faveur de l'extrême-droite ont en effet trouvé ce moyen pour s'opposer à la victoire à la présidentielle. A cette heure, les barrages ont presque tous été levés par la police. - MF
Le président brésilien Bolsonaro, qui a reconnu à demi-mot sa défaite face à Lula lors de sa première déclaration publique hier soir, a notamment déclaré par la voix de son chef de cabinet que les manifestations en son soutien devaient être « pacifiques ».
Il a condamné les barrages routiers des camionneurs bolsonaristes qui entravent la circulation dans tout le pays. 227 routes nationales étaient encore bloquées hier dans la quasi-totalité des États du Brésil, précise notre confrère Le Figaro. Dès dimanche soir, les routiers en faveur de l'extrême-droite ont en effet trouvé ce moyen pour s'opposer à la victoire à la présidentielle. A cette heure, les barrages ont presque tous été levés par la police. - MF