Pour éviter à une jeune collégienne de parcourir chaque jour 650 m à pied sur une route de campagne isolée, sans trottoir, sans marquage et dans le noir, le conducteur du car scolaire avait pris l'habitude de s'arrêter devant son domicile situé exactement sur son circuit. Il vient d'être licencié par son entreprise pour faute grave peut-on lire dans le quotidien régional du Limousin, le Populaire du Centre. Par souci de sécurité, ce conducteur avait pris l'habitude de s'arrêter devant le domicile de certains enfants pour leur éviter d'avoir à marcher seuls dans le fossé, et parfois dans la nuit. Une initiative qui n'a pas été du goût de son entreprise. L'affaire, qui met en émoi la petite commune des Billanges, en Haute-Vienne, relance le débat sur la gestion des transports scolaires en milieu rural avec des arrêts inadaptés.
Pour éviter à une jeune collégienne de parcourir chaque jour 650 m à pied sur une route de campagne isolée, sans trottoir, sans marquage et dans le noir, le conducteur du car scolaire avait pris l'habitude de s'arrêter devant son domicile situé exactement sur son circuit. Il vient d'être licencié par son entreprise pour faute grave peut-on lire dans le quotidien régional du Limousin, le Populaire du Centre. Par souci de sécurité, ce conducteur avait pris l'habitude de s'arrêter devant le domicile de certains enfants pour leur éviter d'avoir à marcher seuls dans le fossé, et parfois dans la nuit. Une initiative qui n'a pas été du goût de son entreprise. L'affaire, qui met en émoi la petite commune des Billanges, en Haute-Vienne, relance le débat sur la gestion des transports scolaires en milieu rural avec des arrêts inadaptés.