Les élections européennes du 9 juin vont dessiner les prochaines priorités politiques du transport routier de marchandises au niveau de l'Union européenne pour la période 2024-2029. Dans un contexte mondial de plus en plus compétitif et face à des difficultés géopolitiques croissantes, l'Europe doit se positionner comme un acteur majeur de ce secteur.
TLF se dit résolument engagée en faveur d'une Europe davantage respectueuse de l'environnement, à condition que les évolutions réglementaires, les délais d'application et autres contraintes nouvelles tiennent compte du besoin de compétitivité du TRM, du temps nécessaire d'adaptation des entreprises et des capacités techniques de production de véhicules.
De son côté, la FNTR, qui siège au Bureau Commun du transport routier à Bruxelles avec les syndicats nordique NLA et allemand BGL (représentant à eux trois environ 25 000 entreprises du transport routier), a émis 7 recommandations politiques fondamentales et parmi elles, les principaux défis de la transition écologique, de la numérisation et du manque de conducteurs.
Pour la FNTR, la défense d'une concurrence loyale entre les entreprises du secteur, à travers les aspects sociaux et les règles d'accès au marché, par le biais de la bonne mise en uvre du Paquet Mobilité constitue également une priorité essentielle.
Comme TLF, les trois syndicats soutiennent pleinement la transition verte du secteur des transports, mais attendent beaucoup plus de conditions favorables au passage aux camions zéro émission (approvisionnement en électricité adéquat et stable, suffisamment d'infrastructures de recharge publiques et de capacité sur le réseau...).
En ce qui concerne l'attractivité du métier, le Bureau commun préconise des aires de stationnement bien entretenues et dotées d'installations sanitaires adéquates, davantage de formations en entreprise et d'apprentissage en ligne, ainsi qu'un accès plus facile des conducteurs de pays tiers au marché du travail de l'UE... Ce dernier point laisse légèrement dubitatif ! - MF
Les élections européennes du 9 juin vont dessiner les prochaines priorités politiques du transport routier de marchandises au niveau de l'Union européenne pour la période 2024-2029. Dans un contexte mondial de plus en plus compétitif et face à des difficultés géopolitiques croissantes, l'Europe doit se positionner comme un acteur majeur de ce secteur.
TLF se dit résolument engagée en faveur d'une Europe davantage respectueuse de l'environnement, à condition que les évolutions réglementaires, les délais d'application et autres contraintes nouvelles tiennent compte du besoin de compétitivité du TRM, du temps nécessaire d'adaptation des entreprises et des capacités techniques de production de véhicules.
De son côté, la FNTR, qui siège au Bureau Commun du transport routier à Bruxelles avec les syndicats nordique NLA et allemand BGL (représentant à eux trois environ 25 000 entreprises du transport routier), a émis 7 recommandations politiques fondamentales et parmi elles, les principaux défis de la transition écologique, de la numérisation et du manque de conducteurs.
Pour la FNTR, la défense d'une concurrence loyale entre les entreprises du secteur, à travers les aspects sociaux et les règles d'accès au marché, par le biais de la bonne mise en uvre du Paquet Mobilité constitue également une priorité essentielle.
Comme TLF, les trois syndicats soutiennent pleinement la transition verte du secteur des transports, mais attendent beaucoup plus de conditions favorables au passage aux camions zéro émission (approvisionnement en électricité adéquat et stable, suffisamment d'infrastructures de recharge publiques et de capacité sur le réseau...).
En ce qui concerne l'attractivité du métier, le Bureau commun préconise des aires de stationnement bien entretenues et dotées d'installations sanitaires adéquates, davantage de formations en entreprise et d'apprentissage en ligne, ainsi qu'un accès plus facile des conducteurs de pays tiers au marché du travail de l'UE... Ce dernier point laisse légèrement dubitatif ! - MF