En rapportant le sombre fait divers de la mort d'un routier roumain sur une route de Belgique (voir 61730), on avait peu d'éléments à notre disposition. Depuis, on a appris que quand le conducteur est mort sur le coup en recevant la plaque d'égout dans la cabine, sa compagne, qui était présente dans la cabine à ses côtés, est parvenue à immobiliser le poids lourd. Cela a évité la sortie de route. Le chauffeur roumain travaillait pour le transporteur espagnol Castillo Trans.
Parmi les cinq suspects interpellés dimanche par la police belge, il y a deux mineurs et trois « jeunes majeurs », relate l'AFP. Depuis un pont enjambant l'autoroute à hauteur de Héron, ces cinq jeunes (domiciliés à proximité) sont soupçonnés d'avoir accroché la plaque à une sangle avant de la projeter dans le vide. Selon les médias locaux, les jeunes gens avaient fait usage de capsules de protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant » pour ses effets psychoactifs. Une information que le parquet de Namur n'a pas voulu commenter lundi soir. Ils sont présentés aujourd'hui mardi au juge d'instruction (pour les majeurs) et à un juge de la jeunesse (pour les deux autres), qui devront décider de leur placement en détention. - MF
En rapportant le sombre fait divers de la mort d'un routier roumain sur une route de Belgique (voir
61730), on avait peu d'éléments à notre disposition. Depuis, on a appris que quand le conducteur est mort sur le coup en recevant la plaque d'égout dans la cabine, sa compagne, qui était présente dans la cabine à ses côtés, est parvenue à immobiliser le poids lourd. Cela a évité la sortie de route. Le chauffeur roumain travaillait pour le transporteur espagnol Castillo Trans.
Parmi les cinq suspects interpellés dimanche par la police belge, il y a deux mineurs et trois « jeunes majeurs », relate l'AFP. Depuis un pont enjambant l'autoroute à hauteur de Héron, ces cinq jeunes (domiciliés à proximité) sont soupçonnés d'avoir accroché la plaque à une sangle avant de la projeter dans le vide. Selon les médias locaux, les jeunes gens avaient fait usage de capsules de protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant » pour ses effets psychoactifs. Une information que le parquet de Namur n'a pas voulu commenter lundi soir. Ils sont présentés aujourd'hui mardi au juge d'instruction (pour les majeurs) et à un juge de la jeunesse (pour les deux autres), qui devront décider de leur placement en détention. - MF
Ces cartouches de protoxyde d'azote utilisées pour la chantilly sont très prisées par les jeunes pour leur effet de gaz hilarant...
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