Les professionnels du transport routier de marchandises expriment leur profond désarroi face aux grèves des dockers annoncées en janvier (ils ont prévu un arrêt de travail de 48 heures les 30 et 31 janvier). Ils prévoient aussi des grèves perlées sur le mois de février 2025. Ces grèves, qui interviennent dans le cadre des négociations postérieures à la réforme des retraites, s'inscrivent dans la continuité de nombreuses grèves ces derniers mois. Elles suscitent une exaspération légitime dans un contexte économique déjà extrêmement tendu pour les entreprises du transport routier de marchandises.
La FNTR en appelle à la responsabilité de toutes les parties prenantes et demande une médiation rapide pour limiter l'impact de ces mouvements sociaux et garantir la continuité des activités économiques. En effet, dans un contexte où la France tente de préserver sa compétitivité face à une conjoncture internationale incertaine, ces perturbations paralysent l'approvisionnement et la distribution des marchandises, entraînent des conséquences désastreuses pour les entreprises de transport routier.
Déjà affaiblies, celles-ci peinent à honorer leurs engagements et à maintenir leur rentabilité, ce qui pourrait entraîner une aggravation des faillites dans la profession. Cette situation met également en péril des milliers d'emplois, tant au sein des transporteurs que dans l'ensemble de la chaîne logistique. Les Organisations Interprofessionnelles Medef et CPME ont été également informées de la gravité de cette situation. - MF
Les professionnels du transport routier de marchandises expriment leur profond désarroi face aux grèves des dockers annoncées en janvier (ils ont prévu un arrêt de travail de 48 heures les 30 et 31 janvier). Ils prévoient aussi des grèves perlées sur le mois de février 2025. Ces grèves, qui interviennent dans le cadre des négociations postérieures à la réforme des retraites, s'inscrivent dans la continuité de nombreuses grèves ces derniers mois. Elles suscitent une exaspération légitime dans un contexte économique déjà extrêmement tendu pour les entreprises du transport routier de marchandises.
La FNTR en appelle à la responsabilité de toutes les parties prenantes et demande une médiation rapide pour limiter l'impact de ces mouvements sociaux et garantir la continuité des activités économiques. En effet, dans un contexte où la France tente de préserver sa compétitivité face à une conjoncture internationale incertaine, ces perturbations paralysent l'approvisionnement et la distribution des marchandises, entraînent des conséquences désastreuses pour les entreprises de transport routier.
Déjà affaiblies, celles-ci peinent à honorer leurs engagements et à maintenir leur rentabilité, ce qui pourrait entraîner une aggravation des faillites dans la profession. Cette situation met également en péril des milliers d'emplois, tant au sein des transporteurs que dans l'ensemble de la chaîne logistique. Les Organisations Interprofessionnelles Medef et CPME ont été également informées de la gravité de cette situation. - MF