Baptisée « Ambition France Transports », la conférence sur le financement des infrastructures de mobilités en France est chargée de définir les moyens concrets pour financer nos infrastructures sur le long terme, afin que tous les Français aient accès à la mobilité. Elle sera présidée par Dominique Bussereau, qui fut ministre des Transports de 2007 à 2010.
En tant que représentante des transporteurs de marchandises et logisticiens français, la fédération TLF appelle à placer la compétitivité des acteurs des filières transport et logistique au cur des débats, car les infrastructures de mobilités sont essentielles à leur bon fonctionnement. Les transporteurs devront donc être pleinement intégrés à ces discussions pour mieux prendre en compte leurs réalités opérationnelles, que ce soit les défis de leur transition énergétique, les enjeux de l'intermodalité du transport de marchandises ou encore de l'aménagement économique du territoire à travers le foncier logistique.
« Les transporteurs routiers français, principalement composé de TPE et de PME, sont déjà lourdement taxés (...). Ces échanges doivent mettre un coup d'arrêt aux écotaxes locales qui se développent et qui risquent de mettre en péril les transporteurs locaux des régions concernées, comme c'est le cas en Alsace et dans le Grand Est », prévient Jean-Thomas Schmitt, Président de l'Union TLF. - MF
Baptisée « Ambition France Transports », la conférence sur le financement des infrastructures de mobilités en France est chargée de définir les moyens concrets pour financer nos infrastructures sur le long terme, afin que tous les Français aient accès à la mobilité. Elle sera présidée par Dominique Bussereau, qui fut ministre des Transports de 2007 à 2010.
En tant que représentante des transporteurs de marchandises et logisticiens français, la fédération TLF appelle à placer la compétitivité des acteurs des filières transport et logistique au cur des débats, car les infrastructures de mobilités sont essentielles à leur bon fonctionnement. Les transporteurs devront donc être pleinement intégrés à ces discussions pour mieux prendre en compte leurs réalités opérationnelles, que ce soit les défis de leur transition énergétique, les enjeux de l'intermodalité du transport de marchandises ou encore de l'aménagement économique du territoire à travers le foncier logistique.
« Les transporteurs routiers français, principalement composé de TPE et de PME, sont déjà lourdement taxés (...). Ces échanges doivent mettre un coup d'arrêt aux écotaxes locales qui se développent et qui risquent de mettre en péril les transporteurs locaux des régions concernées, comme c'est le cas en Alsace et dans le Grand Est », prévient Jean-Thomas Schmitt, Président de l'Union TLF. - MF