En Équateur, l'état d'urgence a été décrété dans sept des 24 provinces du pays où des manifestants bloquent des routes pour protester contre la suppression des subventions sur le diesel. C'est un sujet très sensible dans ce pays, au point d'avoir déjà été une cause majeure dans la chute de trois présidents précédents.
Le président actuel, Noboa, a déclenché à son tour l'ire de la population, et plus particulièrement des transporteurs, en signant un décret vendredi pour 60 jours, faisant passer le prix du diesel de 1,80 à 2,80 dollars par gallon (3,8 l), soit 0,62 euros le litre au lieu de 0,40 euros. Le gouvernement justifie l'état d'urgence par la paralysie de plusieurs secteurs touchant l'économie que provoquent les blocages. - MF
En Équateur, l'état d'urgence a été décrété dans sept des 24 provinces du pays où des manifestants bloquent des routes pour protester contre la suppression des subventions sur le diesel. C'est un sujet très sensible dans ce pays, au point d'avoir déjà été une cause majeure dans la chute de trois présidents précédents.
Le président actuel, Noboa, a déclenché à son tour l'ire de la population, et plus particulièrement des transporteurs, en signant un décret vendredi pour 60 jours, faisant passer le prix du diesel de 1,80 à 2,80 dollars par gallon (3,8 l), soit 0,62 euros le litre au lieu de 0,40 euros. Le gouvernement justifie l'état d'urgence par la paralysie de plusieurs secteurs touchant l'économie que provoquent les blocages. - MF