« A combien d'entre nous cela peut-il arriver chaque nuit ? », se demande avec angoisse un routier internaute qui a lu chez notre confrère Le Parisien les conséquences de l'accrochage d'un camion avec deux voitures stationnées sur une une bande d'arrêt d'urgence de l'A6 suite à un problème mécanique, vers 1h du matin. Un poids lourd est arrivé sur la voie lente et a percuté violemment l'une des voitures, qui est allée taper dans l'autre. Résultat, deux blessés graves et deux légers. Le chauffeur du camion, indemne, dit n'avoir rien vu dans cette zone sans éclairage. Il a été placé en garde à vue.
« Là, ce n'était que deux VL, et heureusement il n'y a pas eu de mort. Mais toutes les nuits, combien de poids lourds sont arrêtés sur la BAU tous feux éteints pour y faire leur coupure de 9 ou 11 heures, avec la hantise de se faire percuter par un véhicule qui arrive par derrière ? Et que font les autorités contre cela ? », souligne l'internaute qui nous a contactés. - MF
« A combien d'entre nous cela peut-il arriver chaque nuit ? », se demande avec angoisse un routier internaute qui a lu chez notre confrère Le Parisien les conséquences de l'accrochage d'un camion avec deux voitures stationnées sur une une bande d'arrêt d'urgence de l'A6 suite à un problème mécanique, vers 1h du matin. Un poids lourd est arrivé sur la voie lente et a percuté violemment l'une des voitures, qui est allée taper dans l'autre. Résultat, deux blessés graves et deux légers. Le chauffeur du camion, indemne, dit n'avoir rien vu dans cette zone sans éclairage. Il a été placé en garde à vue.
« Là, ce n'était que deux VL, et heureusement il n'y a pas eu de mort. Mais toutes les nuits, combien de poids lourds sont arrêtés sur la BAU tous feux éteints pour y faire leur coupure de 9 ou 11 heures, avec la hantise de se faire percuter par un véhicule qui arrive par derrière ? Et que font les autorités contre cela ? », souligne l'internaute qui nous a contactés. - MF