Pour éviter les arnaques, mieux vaut s'assurer que l'avis de contravention qu'on reçoit par mail (pratique de plus en plus courante) est bel et bien envoyé par l'Antai (Agence nationale de traitement automatisé des infractions). Notre confrère L'argus explique comment distinguer le vrai du faux.
Il faut d'abord comprendre comment l'Antai est en possession de votre adresse mail. Elle peut lui arriver de trois façons. D'abord par la base de données de France Titres (anciennement ANTS), qui la recueille en cas de changement d'adresse sur la carte grise, d'achat ou de cession d'un véhicule.
Ou alors si vous avez accepté de le communiquer à un agent verbalisateur lors d'une interception. Troisième source possible, votre adresse mail peut avoir été communiquée aux autorités à l'occasion de la désignation de l'auteur de l'infraction par un loueur ou toute autre personne à qui vous avez emprunté le véhicule.
Ce qui est bon à savoir, c'est que si, à la réception d'un avis de contravention par mail, vous ne le téléchargez au format PDF, vous recevrez l'avis de contravention papier à votre adresse sept jours plus tard. Les délais pour bénéficier du montant minoré de l'amende forfaitaire partiront alors à compter de la date d'envoi du courrier par la Poste.
Comment identifier les arnaques ? Premier indice : vérifiez la présence des logos officiels (Marianne et Antai) en tête du mail. L'adresse de l'expéditeur doit être « nepasrepondre_noreply@antai.gouv.fr ». L'objet du mail doit être « [Antai -Votre démarche] Avis de contravention électronique » ; Le nom du destinataire du PV (personne physique ou société) ne doit enfin comporter aucune erreur.
En cas de doute, il est préférable de contacter l'Antai (0806 606 606) afin de vérifier que l'e-mail a été envoyé au titre d'une véritable infraction au Code de la route.
Pour éviter les arnaques, mieux vaut s'assurer que l'avis de contravention qu'on reçoit par mail (pratique de plus en plus courante) est bel et bien envoyé par l'Antai (Agence nationale de traitement automatisé des infractions). Notre confrère L'argus explique comment distinguer le vrai du faux.
Il faut d'abord comprendre comment l'Antai est en possession de votre adresse mail. Elle peut lui arriver de trois façons. D'abord par la base de données de France Titres (anciennement ANTS), qui la recueille en cas de changement d'adresse sur la carte grise, d'achat ou de cession d'un véhicule.
Ou alors si vous avez accepté de le communiquer à un agent verbalisateur lors d'une interception. Troisième source possible, votre adresse mail peut avoir été communiquée aux autorités à l'occasion de la désignation de l'auteur de l'infraction par un loueur ou toute autre personne à qui vous avez emprunté le véhicule.
Ce qui est bon à savoir, c'est que si, à la réception d'un avis de contravention par mail, vous ne le téléchargez au format PDF, vous recevrez l'avis de contravention papier à votre adresse sept jours plus tard. Les délais pour bénéficier du montant minoré de l'amende forfaitaire partiront alors à compter de la date d'envoi du courrier par la Poste.
Comment identifier les arnaques ? Premier indice : vérifiez la présence des logos officiels (Marianne et Antai) en tête du mail. L'adresse de l'expéditeur doit être « nepasrepondre_noreply@antai.gouv.fr ». L'objet du mail doit être « [Antai -Votre démarche] Avis de contravention électronique » ; Le nom du destinataire du PV (personne physique ou société) ne doit enfin comporter aucune erreur.
En cas de doute, il est préférable de contacter l'Antai (0806 606 606) afin de vérifier que l'e-mail a été envoyé au titre d'une véritable infraction au Code de la route.