Après la réduction de la limitation de vitesse à 50 km/h mise en place en octobre 2024 sur le périph' parisien, La Préfecture de région Ile-de-France, la Préfecture de police de Paris et la Ville de Paris ont annoncé la mise en uvre le 3 mars 2025 de la fermeture aux heures de pointe d'une voie sur trois sur le boulevard périphérique et les autoroutes A1 et A13. Seuls les véhicules autorisés et transportant au moins deux personnes pourront circuler sur la voie de gauche.
Face à cette décision prise unilatéralement et de façon précipitée, le Gatmarif dénonce une mesure contreproductive et appelle à stopper sa mise en uvre. « Cela va pénaliser les conditions d'exploitation des entreprises de transport, de déménagement et de commerce de gros franciliennes (...). La suppression d'une voie de circulation sur les trois va augmenter considérablement les temps de parcours et générer des millions d'heures perdues (...). Nous invitons donc les autorités à mener la concertation qui permettra d'en identifier les effets de bords, les dommages collatéraux et autres conséquences contre-productives ». - MF
Après la réduction de la limitation de vitesse à 50 km/h mise en place en octobre 2024 sur le périph' parisien, La Préfecture de région Ile-de-France, la Préfecture de police de Paris et la Ville de Paris ont annoncé la mise en uvre le 3 mars 2025 de la fermeture aux heures de pointe d'une voie sur trois sur le boulevard périphérique et les autoroutes A1 et A13. Seuls les véhicules autorisés et transportant au moins deux personnes pourront circuler sur la voie de gauche.
Face à cette décision prise unilatéralement et de façon précipitée, le Gatmarif dénonce une mesure contreproductive et appelle à stopper sa mise en uvre. « Cela va pénaliser les conditions d'exploitation des entreprises de transport, de déménagement et de commerce de gros franciliennes (...). La suppression d'une voie de circulation sur les trois va augmenter considérablement les temps de parcours et générer des millions d'heures perdues (...). Nous invitons donc les autorités à mener la concertation qui permettra d'en identifier les effets de bords, les dommages collatéraux et autres conséquences contre-productives ». - MF