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Shell commercialise un biodiesel
Shell met sur le marché français le biocarburant Shell Renewable Diesel (SRD). Elaboré à partir de composants renouvelables, il offre jusqu'à 90% moins d'émissions de CO₂e (qui, outre les émissions de CO₂, comprend celles de CH₄ et ...
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Shell met sur le marché français le biocarburant Shell Renewable Diesel (SRD). Elaboré à partir de composants renouvelables, il offre jusqu'à 90% moins d'émissions de CO₂e (qui, outre les émissions de CO₂, comprend celles de CH₄ et de N₂O) que le diesel B7 (du puits à la roue) sur la base du cycle de vie. Cela comprend les émissions liées à la production et au transport des matières premières, à la production de carburants, au transport et à la distribution de carburants et à la combustion.
Ce carburant SRD est un XTL élaboré à partir de déchets et résidus, de sources non alimentaires et d'aliments pour animaux. Il peut être utilisé directement dans les moteurs diesel. Comment peut-il réduire jusqu'à 90% les émissions de carbone du transport par rapport au diesel B7 ? Plusieurs raisons sont avancées par Shell.
Il fournit une combustion plus propre par rapport au diesel ordinaire. Il réduit les polluants atmosphériques des moteurs diesel, il réduit le bruit du moteur, il améliore le démarrage du moteur dans des conditions climatiques froides. Aucune adaptation préalable du moteur n'est nécessaire. Cela simplifie ainsi la transition des véhicules diesel vers des carburants plus respectueux de l'environnement.
Le SRD est livré directement dans les citernes clients, sur les dépôts logistiques du Nord, de Normandie et du Grand Est.
Shell souligne par ailleurs qu'il a renforcé son offre GNL en France en 2024, en atteignant l'objectif qu'il s'était fixé de huit stations GNL, stratégiquement situées sur le territoire français. - MF
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Décarbonation : la FNTV cosignataire d'une lettre ouverte adressée au Premier ministre
La FNTV est cosignataire d'une lettre ouverte pour la décarbonation du transport routier. À quelques heures de la déclaration de politique générale du Premier ministre, la FNTV - aux côtés de plusieurs acteurs des secteurs des transports et de l'éner...
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La FNTV est cosignataire d'une lettre ouverte pour la décarbonation du transport routier. À quelques heures de la déclaration de politique générale du Premier ministre, la FNTV - aux côtés de plusieurs acteurs des secteurs des transports et de l'énergie dont Altens, Bolloré et MAN - appellent Michel Barnier et son gouvernement à mettre en place une politique ambitieuse en matière de décarbonation du secteur routier.
"A travers cette lettre ouverte, nous demandons au gouvernement de rehausser les objectifs d'incorporation des carburants renouvelables dans les transports et à réviser la fiscalité des énergies".
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Aide à l'achat de PL électriques : un nouvel appel s'ouvre le 21 août
Le Cofit, auquel participe la Fédération française de carrosserie (FFC), ouvre le 24 août un nouvel appel à projets (jusqu'au 7 octobre 2024) pour aider au financement des véhicules électriques lourds.
Après un premier volet dédié aux PME, i...
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Le Cofit, auquel participe la Fédération française de carrosserie (FFC), ouvre le 24 août un nouvel appel à projets (jusqu'au 7 octobre 2024) pour aider au financement des véhicules électriques lourds.
Après un premier volet dédié aux PME, il concerne l'ensemble des entreprises, acquéreurs ou locataires de longue durée de véhicules neufs et commanditaires d'opérations de rétrofit électrique.
Le cahier des charges de cet appel à projet vient d'être mis en ligne sur le site de l'Ademe. Pour le consulter, cliquez ici.
A ne pas confondre avec l'enveloppe de 20 millions d'euros ouverte jusqu'au 19 août qui offre jusqu'à 90 000 euros d'aide pour l'achat ou le rétrofit d'un tracteur électrique (voir 61967). - MF
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L'AFGNV devient France Mobilité Biogaz
L'AFGNV (Association Française du Gaz Naturel Véhicules) fait peau neuve en adoptant un nouveau nom qui reflète mieux ses orientations stratégiques actuelles : France Mobilité Biogaz. Aujourd'hui, il ne s'agit plus d'installer la technologie du gaz c...
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L'AFGNV (Association Française du Gaz Naturel Véhicules) fait peau neuve en adoptant un nouveau nom qui reflète mieux ses orientations stratégiques actuelles : France Mobilité Biogaz. Aujourd'hui, il ne s'agit plus d'installer la technologie du gaz carburant, du « GNV », dans le transport routier français : l'écosystème de la filière est en place - véhicules, réseau de stations, volumes. L'horizon de la filière consiste désormais, tout en poursuivant son développement, à basculer rapidement, avant 10 ans, vers 100% de biométhane, et à offrir ainsi un carburant au pouvoir de décarbonation comparable à celui de l'électricité d'origine française. Alors que l'acronyme « AFGNV » était peu connu du grand public, le nom France Mobilité Biogaz explicite l'objet et le périmètre de l'Association. Celle-ci se dote par la même occasion d'une signature qui énonce la valeur « climatique » du BioGNV en tant que solution énergétique appliquée au transport, en priorité routier : "La décarbonation en route." « En route » est cependant à prendre ici plus largement dans son sens métaphorique de chemin, trajet, car nos champs de mobilité n'excluent a priori ni le fluvial, ni le ferroviaire. En ordre de marche pour décarboner la mobilité, le biométhane utilisé comme BioGNV annonce désormais la couleur ! Cette revendication sonne comme une mobilisation à l'heure où la faible prise en compte des énergies renouvelables par les décideurs politiques européens risque d'empêcher le BioGNV de jouer tout le rôle auquel il peut légitimement prétendre dans la décarbonation des transports. La modernisation de l'Association et de sa stratégie s'expriment aussi dans son nouveau logo plus épuré, plus vert. Sa forme elliptique adoucie évoque à la fois une roue qui avance et la circularité du carbone émis à la combustion, capté par les plantes et réutilisé lors de la production du biométhane. Nous avons à défendre une filière vertueuse mais aussi trop peu connue et menacée, commente Erwan Cotard, le président de France Mobilité Biogaz. Notre nouvelle identité de marque clame que notre énergie sera une brique nécessaire du futur mix décarboné de la mobilité, avec l'électricité, les carburants liquides bas carbone et l'hydrogène. »
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Une nouvelle station Engie proposant du GNL en Meurthe-et-Moselle
Pour accompagner la transition des transporteurs, Engie Solutions complète son maillage dans la région du Grand Est. La nouvelle station de Rosières-aux-Salines, implantée en Meurthe-et-Moselle, est située à proximité immédiate de l'A33 mais aussi de...
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Pour accompagner la transition des transporteurs, Engie Solutions complète son maillage dans la région du Grand Est. La nouvelle station de Rosières-aux-Salines, implantée en Meurthe-et-Moselle, est située à proximité immédiate de l'A33 mais aussi des axes RD400 et N333, des axes routiers très utilisés par les transporteurs. Dimensionnée pour les poids lourds, la nouvelle station est dotée de 4 pistes GNL. Différents modes de paiement sont possibles : badge Engie, CB, cartes DKV et UTA. Un troisième site verra le jour à Champigneulles (nord de Nancy), près de l'A31, indique le site www.gaz-mobilite.fr/www.gaz-mobilite.fr.
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Le nouveau règlement européen sur les carburants alternatifs adopté
Le règlement Afir (Alternative Fuels Infrastructure Regulation) est arrivé au terme de son parcours législatif. Validé par le parlement européen, le texte a été officiellement adopté par le Conseil le 25 juillet précise le site gaz-mobilite.fr. Pour ...
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Le règlement Afir (Alternative Fuels Infrastructure Regulation) est arrivé au terme de son parcours législatif. Validé par le parlement européen, le texte a été officiellement adopté par le Conseil le 25 juillet précise le site gaz-mobilite.fr. Pour le gaz, les efforts sont concentrés sur le GNL. Dans le camion, Iveco, Scania et Volvo proposent des grands routiers roulant au GNL. Dans le car, seuls Irizar et Scania ont présenté un modèle au gaz naturel liquéfié : en 2018, à l'IAA, Scania a dévoilé son Interlink affichant 1 000 km d'autonomie et en 2021, Irizar son i4 L. D'autre part, le nouveau règlement Afir suite cette logique en se concentrant principalement sur les technologies électriques et hydrogène. Sur l'électrique, le texte impose des stations de recharge rapide d'au moins 150 kW tous les 60 km pour les véhicules légers dès 2025 mais aussi des bornes en 350 kW pour les poids lourds avec deux paliers de déploiement : 2025 et 2030. Pour l'hydrogène, le texte précise que des stations hydrogène devront ainsi être déployées tous les 200 km le long du réseau central RTE-T (carte ci-dessous) mais aussi dans l'ensemble des « nuds urbains » d'ici au 31 décembre 2030. Chaque station devra proposer au moins un distributeur en 700 bars et être dotée d'une capacité d'avitaillement minimale de 1 t par jour. Le gaz n'est toutefois pas totalement exclu du nouveau règlement. Pour le transport routier, la solution GNL est clairement mise en avant. « Dans le secteur du transport routier lourd, les technologies des camions fonctionnant au méthane liquéfié sont arrivées à maturité complète » souligne le règlement. Alors que le précédent texte, la directive 2014/94/UE, avait recommandé d'installer des stations GNL tous les 400 km le long du réseau central du RTE-T, le nouveau règlement appelle à poursuivre cet engagement sans toutefois donner d'objectifs précis explique me site gaz-mobilite.fr.
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Euro 7 : les prix des véhicules grimperont en flèche
Selon une étude récente analysée par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), du fait d'Euro 7, les prix des véhicules seront 4 à 10 fois plus élevés que les estimations annoncées par la Commission européenne. Frontier Economic...
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Selon une étude récente analysée par l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA), du fait d'Euro 7, les prix des véhicules seront 4 à 10 fois plus élevés que les estimations annoncées par la Commission européenne. Frontier Economics estime que le prix des camions et des autocars augmentera de 12 000 Euros, alors que les estimations de la CE ne seraient que de seulement +2 800 Euros. Les hausses sont dues aux pièces et aux investissements nécessaires pour atteindre une norme antipollution « la plus sévère jamais atteinte » estiment les constructeurs qui n'y voient que des contraintes techniques. Sigrid de Vries, directrice générale de l'ACEA, plaide pour une transition par l'électrification comme bon nombre de hauts responsables de constructeurs de véhicules industriels (voir 59721).
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